Le béret ! le top des chapeau, dix fois plus élégant et plus chaud qu’une casquette trucker »,  moins ringard qu’un chapeau en feutre, fierté de nos campagnes et l’accessoire idéal pour nos têtes de pêcheurs: c’est chaud, ça ne prend pas le vent, ça protège de la pluie, du froid, du soleil, de la neige, des crétins ! C’est tout bénef ! Ça donne une tronche de révolutionnaire ? Remettons les pendules à  l’heure, nous en parlions justement avec Flechemuller en tirant sur des cigares de chez Partagas comme des agneaux sur le pie d’une brebis, le béret n’a rien de révolutionnaire ! Nos amis Basques, poussés vers de lointaines contrées pour y trouver une terre d’accueil poussés hors de chez eux par les famines du 19e siècle, arrivèrent pour nombre d’entre eux en Argentine et leur couvre chef se prêtait formidablement au climat de la Patagonie ou de n’importe ou d’ailleurs si bien que le béret remplaçait en peu de temps le chapeau des gauchos. Il semble que les gens portent plus le béret en argentine qu’en France…où il est censé être notre chapeau national ! La caricature des français ne nous représente-t-elle pas avec une marinière, une clope au bec, un kil de rouge, une baguette et UN Béret ? ! Mais revenons aux Argentins, quand Mr Ernest « Che » Guevara de Buenos Aires, arrive à Cuba pour aider la révolution, que porte-t-il ? UN béret ! Et voilà comment notre couvre chef de berger est devenu le symbole de la révolution ! En attendant je vais vous conseiller un truc, faites comme le Che, Castro, Hemingway, Picasso, Garbo, John et Yoko, Bardot, Le Mouching,  portez en un  !