Take me to the river!

Vous sentez comme ça pousse ? Vous sentez cette pression pernicieuse et permanente qui grandit chaque jour ? Une vague qui vous submerge, une pression insupportable, un truc lancinant mais permanent qui monte en vous comme la sève, comme une note qui tient trop longtemps.  Prends, moi, prends moi et emmène moi au bord de l’eau, take me to the river, putaingue bordel ! Bientôt, bientôt l’ouverture. Syl Johson, Chicago 1975.

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