À quel point, à quel point est-ce que ça fait mal ? À quel point sentirons-nous la douleur de culpabilité de ne rien faire, de ne pas élever notre voix, de ne pas crié au monde ? À quel point cela nous fera-t-il mal ? Pouvons-nous nous le permettre ? Pouvons nous vivre avec le sentiment de culpabilité de n’avoir rien fait ?  Cela ne challengera-t-il pas notre sérénité si on ne fait ou ne dit rien ? Pourrons-nous nous regarder dans un miroir, que dirons-nous à nos enfants je l’ai laissé faire ? La rivière Una, en Bosnie, une de nos plus belle rivière d’Europe, une rivière magnifique, qui va sans doute disparaitre. On ne peut pas rester silencieux, ne rien dire, ne rien faire. S’il vous plait, partagez ce post, c’est une si belle rivière, une de nos dernière rivière sauvage.

Comme beaucoup d’autres parmi les dernières rivières européennes qui coulent librement aux Balkans, la Una est à tout moment menacée d’être détruite par une série de baarrages hydroélectriques. Il s’agit d’une des dernières rivières au monde qui abrite un population de huchons sauvages et de formidable ressources halieutiques. 

Pour Anes Halkic, un guide bosniaque, la Una n’est pas simplement une rivière. Elle est sa vie. Dans « Una – The One » nous suivons sa lutte contre les barrages tandis qu’il chasse le huchon à la mouche en compagnie de deux guides autrichiens,  Christof Menz and Uwe Rieder 

una-discovery.org
pro-guides.com