Hier après-midi, en émergeant de mon coma de début d’année, ma tête était aussi embrumée que les images de la jungle amozonienne du début du film, puis à chaque seconde mes esprits se sont éclaircis et au bout de quelques longues secondes, le temps que je comprenne tout ce qui se passe, c’était moi qui était sur cette barque et qui envoyais mon popper à cet espèce de monstre qu’est le Peacock Bass ! Nom de Dieu qu’est ce que c’est bon de commencer l’année comme ça !