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Rien de tel pour préparer un fond de sauce et danser sur le carrelage qu’une bonne salsa brava bien relevé de trombones ébouillantés. Faire la cuisine à 22h45 c’est une mauvaise idée. Mais qu’il est con l’urbain! Il peut pas mijoter en journée alors ses heures sups il les passe à touiller…
Mais la nuit c’est aussi l’heure des addictions les plus diverses. J’en ai plusieurs comme tout le monde (les sketchs de Bill Hicks sur You Tube, les noix de Cajou de chez Leader Price, la bière chinoise glacée…) mais celle qui prend le dessus depuis quelques temps c’est la quête de disque latino sur des sites de collectionneurs colombiens. Oui je sais c’est pointu mais que voulez vous, quand on aime on ne compte pas !
Même si par définition le vice est un plaisir solitaire (comme quoi c’est dur de trouver un bon compagnon de pêche !) je vous soumets à l’écoute deux boulettes de Salsa Dura, entendez là que c’est pas la guimauve de Miami, c’est du portoricain pour Zodiac et du Vénézuélien pour Frederico donc autant dire que ça tape sévêrement. Et puis tiens ma sauce est prête ! Je connais une épaule de gigot qui va se faire arroser…
C’est en cliquant sur les pochettes que tu trouveras 
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