Ornette Coleman joue maintenant pour les anges. Il a ouvert la porte du free jazz dans les années 70, une porte entrouverte dont le courant d’air à fait fuir grand nombre de jazzmen alors que d’autres s’y sont engouffrés pour profiter d’un nouveau chemin musical. Ornette Coleman n’a jamais été un Jazz facile, un truc de radio que l’on fredonne en esquissant des pas de danse dans la cuisine, aussi je voudrais partager avec vous aujourd’hui un de mes morceaux préférés, Lonely Woman. J’espère qu’il vous plaira.  Thank you Ornette. [youtube=https://youtu.be/QSmYTc1Jv7w]