Bien au chaud près du poêle, alors que dehors les bourrasque pourrissent le printemps Slovène, nous sommes là, à écouter de la musique qui nous fait rêver et nous perd dans nos rêves de truites plus grosses de celles de la veille et puis on ne peut s’empêcher de tournicoter sur le web et se rassurer en se disant que nous ne somme pas les seuls  pêcher avec un temps pourri, et puis il y a cette vidéo qui sort la tête, qui est douce et belle, si belle qu’on aimerait pêcher les truites de mer du Sud de la Norvège et se faire tancer par les vagues. Demain sera un autre jour.