Putaingue que c’est beau, beau comme un haiku, d’une simplicité sans nom, d’une émotion intense et si simple à la fois, la fin de l’été au Japon près des sources, là où les truites sont dans des ruisseaux gros comme des rigoles. Il n’y a pas besoin de voix off, d’explication, tout est dans ce que l’on ressent.