Les mots manquent quand on fini un film de Rolf. Souvent, le premier qui vient en tête c’est « truc de ouf comment c’est beau ». Mais pas cette fois.

The Creek est un petit film qui traite de la beauté d’être au bord de l’eau, une canne à mouche en main, et une boite de mouches sèches dans le gilet. Et ce, tout au long de l’année. La beauté d’un gobage n’a d’autre égal. Rien au dessus rien en dessous comme ils disent…

Et puis quand votre fils devient premier fan, spectateur, chaque poisson offre une saveur particulière. Celle de la transmission. Et la rivière sans nom parait adaptée à cela. Des ombres et des truites, le nez sous la surface, qui attaquent goulûment tout ce qui volait quelques secondes plus tôt.

Là, les mots qui me viennent en tête, c’est bravo et merci monsieur Nylinder. Comme toujours et pour toujours !