Quand ça martelle dur, il vaut mieux sortir pêcher à la mouche à la fraîche ou rester dans les sous-bois.

Ça cogne, ça cogne tellement que la nuit on est resté dehors tard après minuit, alors qu’avec l’altitude en Juin, à neuf heures, on est rentré. Tout, en prend un sacré coup sur la tête, la fraicheur se trouve au frais des maisons ou à l’ombre des arbres, près de la rivière. Cette délicieuse sensation de sentir l’eau fraiche vous serrer les jambes, l’odeur de la rivière, la fraicheur tant cherchée. Les sous bois, le ruisseau et les truites, voraces, qui se jettent sur vos mouches. Vous rentrerez à la nuit, par les fenêtres ouvertes de la bagnole un vent tière vous rafraichira à peine, mais vous serez heureux.

Allez, il va sans doute falloir nous y habituer… c’est hélas le réchauffement planétaire.

One Spontaneous Afternoon At A Small Mountain Stream from Matthias Niggl on Vimeo.