C’est beau comme l’été, celui que l’on attend et que l’on voit devant soi quand on monte des mouches, quand carresse ses moulinets, ses cannes, que l’on se souvient des chaudes soirées de l’été, où tout semble facile, que plus rien ne compte, que le temps n’a plus aucune importance et n’a plus de prise sur vous, comme si il n’existait pas. La nuit pourra tomber et elle sera la bienvenue, en attendant la rivière vous aura offert le meilleur d’elle même, aurez-vous su en saisir l’occasion ?