Le printemps est là, sur le paillasson, il ne reste plus qu’à ouvrir la porte, promesses de journées inoubliables au bord de l’eau. C’est beau comme Dolores Vargas et Melchor de Marchena…ça vous subjugue et finit par vous prendre aux tripes et ne plus vous lâcher, comme quand nous sommes possédés par la fièvre des rivières. Si vous êtes sensible à ce genre de beauté, ne raccrochez pas, la fin est extraordinaire. [youtube=http://youtu.be/7r_jvDoUI5Y] extrait de Veraneo en España, 1956.