Une force visuelle peu commune, même pour un film de surf, et des moments audio franchement surnaturels. Le réal, Russell Brownley, explique : les idées sont nées d’une plongée en profondeur dans les documentaires des années 60 de Cousteau. On ne mesure pas forcément bien la tarte visuelle qu’on représenté ces films pour le monde de l’image. En tout cas, vingt minutes de tubes, de belles gueules et quelques plans sublimes à mater à l’ombre avec un Daiquiri Hemingway style quand il fait chaud l’après-midi.

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